Francois Hollande citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Francois Hollande
  • Aujourd'hui, Paris est la capitale du monde.

  • Je n'aime pas la richesse indécente et non gagnée. Mais il est légitime pour un entrepreneur qui a créé quelque chose de bien gagner sa vie.

  • Dans une élection, il faut à la fois de l'espoir et de l'audace.

  • Je m'engage à servir mon pays.

  • J'aurais pu faire fortune dans les cheeseburgers, mais j'ai finalement choisi la politique.

  • Je ne veux pas laisser mon successeur et mes enfants payer la dette de la France.

  • Je me suis donné un objectif, être le deuxième président de Corrèze et enfin être le successeur de François Mitterrand.

  • Je veux initier un changement de société sur le long terme.

  • Je voudrais un Royaume-Uni pleinement engagé en Europe, mais je ne peux décider à la place des Britanniques. Je vois que pour le moment ils veulent être plus en retrait.

  • Je suis le président de la jeunesse de France.

  • Je suis fier d'avoir été capable de redonner de l'espoir aux gens.

  • Je suis attaché à la langue française. Je défendrai l'usage omniprésent du français.

  • Chaque pays a une âme, et l'âme de la France, c'est l'égalité.

  • Un programme d'éducation est, par définition, un programme sociétal. Le travail devrait être fait à l'école plutôt qu'à la maison.

  • Nous avons chassé les nuages, le ciel est tout rose.'

  • L'Europe a besoin d'un moteur, et le moteur franco-allemand l'a prévu lorsque les deux nations ont convergé sur des sujets importants pendant des périodes critiques. Mais ce partenariat ne devrait pas être une direction pour d'autres membres de l'UE.

  • La France est le pont entre l'Europe du Nord et l'Europe du Sud. Je refuse toute division. Si l'Europe a été réunifiée, ce n'est pas pour qu'elle tombe ensuite dans l'égoïsme ou le "chacun pour soi". Notre devoir est de fixer des règles communes autour des principes de responsabilité et de solidarité.

  • Je ne veux pas d'euro bonds qui servent à mutualiser la totalité de la dette des pays de la zone euro. Cela ne peut fonctionner qu'à plus long terme. Je souhaite que les obligations en euros servent à financer des investissements ciblés dans des projets de croissance tournés vers l'avenir. Ce n'est pas la même chose. Appelons - les "obligations de projet" au lieu d'obligations en euros.

  • J'ai défendu les intérêts de la France au G8 de Washington; ensuite j'étais à Chicago pour annoncer le retrait des troupes françaises d'Afghanistan; j'ai participé à deux sommets européens, j'ai donc pleinement respecté les engagements que j'ai pris envers les Français.

  • L'enjeu est de préserver nos relations avec les États-Unis. Ils ne devraient pas être modifiés à cause de ce qui s'est passé. Mais la confiance doit être restaurée et renforcée.

  • Nicolas Sarkozy a dit qu'il pouvait voir une vague se lever. Pour une fois, il avait raison. La vague arrive; elle est haute, elle est forte, et elle va le frapper au visage.

  • Devant vous, je m'engage à servir mon pays avec le dévouement et l'exemplarité que ce poste exige. Je comprends les responsabilités du métier et, à ce titre, je fais un salut républicain à Nicolas Sarkozy qui a dirigé la France pendant 5 ans et qui mérite tout notre respect.

  • Il n'y a qu'une seule France... une seule nation, unie dans le même destin.

  • Ce que veulent les Français, c'est de la cohérence, de la stabilité et de la justice. Si je suis dans une position favorable aujourd'hui, c'est parce que mes concitoyens veulent faire l'effort de redresser le pays, et en même temps ils veulent qu'il soit juste et équitable.

  • Au cours d'un mandat, il y a des hauts et des bas, mais ce qui compte, c'est que l'objectif soit fixé ainsi que les moyens pour l'atteindre et la force que nous mettons à obtenir des résultats.

  • Entre la France et le Sénégal, il y a une histoire. Il y a une langue que nous parlons tous les deux. Il y a une culture que nous partageons et à laquelle nos deux peuples ont contribué. Mais au-delà de notre histoire, au-delà de notre langue, au-delà des liens qui nous unissent depuis si longtemps, ce qui nous unit aujourd'hui, c'est l'avenir.

  • La relation transatlantique est vitale pour nos deux pays: la France restera un allié fiable des États-Unis. Néanmoins, allié ne signifie pas aligné.

  • Mon véritable adversaire n'a ni nom, ni visage, ni parti. Il ne sera jamais élu, pourtant il gouverne - l'adversaire est le monde de la finance.

  • La France est-elle une puissance exportatrice d'Europe du Nord ou une économie méditerranéenne endettée et dépendante? Oui aux deux.

  • Pour être influente dans le monde de demain, pour défendre nos valeurs et notre modèle de développement, la France a besoin de l'Europe et l'Europe a besoin de la France.

  • L'austérité ne doit pas être le destin de l'Europe.

  • Je vais rassembler tous les Français qui veulent du changement.

  • Mon adversaire est le monde de la finance.

  • Mon objectif est de remettre la France sur ses pieds. Je dois remettre ce pays sur pied.

  • Mon obligation, si je deviens président, est de donner à l'Europe une autre direction que celle qui nous est imposée aujourd'hui.

  • Rien ne m'a été donné, rien ne m'a été confié, rien ne m'a été attribué. Tout ce que j'ai, je l'ai pris de plein droit.

  • Ma mission est de remettre la France debout. La priorité est l'emploi. Des efforts doivent être faits, mais ces efforts doivent être faits équitablement.

  • Je sais où je vais et je l'ai dit aux Français. Je suis sûr que si l'espoir est là, nous pourrons remettre la France debout pour vivre mieux dans cinq ans qu'aujourd'hui.

  • Je suis pour une distinction claire entre la vie publique et la vie privée. Je crois que les affaires privées devraient être réglées en privé et j'ai demandé à mes proches de respecter cela.

  • Tout le monde dit que François Mitterrand avait un charisme énorme. Mais avant qu'il ne soit président, ils l'appelaient mal habillé, vieux, archaïque et disaient qu'il ne connaissait rien à l'économie jusqu'au jour de son élection. Ça s'appelle le suffrage universel. Quand on est élu, on devient la personne qui incarne la France.

  • J'ai parfaitement compris l'attitude du Président Obama tout au long de la campagne présidentielle française. Il n'avait aucune raison de prendre ses distances avec Nicolas Sarkozy. C'est la solidarité fondamentale que les dirigeants qui ont travaillé ensemble se doivent mutuellement.

  • Si je deviens président, la France ne poursuivra pas la même politique que sous Nicolas Sarkozy - tant en politique intérieure qu'en politique étrangère et européenne.

  • Nous sommes proches, très proches, de la fin de la crise de la zone euro... Le pire - dans le sens de la peur de l'éclatement de la zone euro - est passé. Mais le meilleur n'est pas encore là.

  • J'attache la plus grande importance à une amplification des efforts de paix au Moyen-Orient. J'aimerais également voir un dialogue plus approfondi entre les États-Unis et l'UE.

  • Je n'attendrai pas la fin de mon mandat pour dire que j'ai fait des erreurs au début. C'est trop tard. J'essaierai d'adopter le bon comportement, si les Français m'en donnent l'occasion, dès le départ.

  • Mes chers citoyens, concitoyens, Français, ce 6 mai, vous venez de choisir le changement en m'apportant la présidence de la République française. Je ressens l'honneur qui m'a été fait et la tâche, la tâche importante à accomplir au - delà-devant vous pour servir mon pays.

  • Une chose qui différencie la France des autres pays est la tradition de solidarité sociale. Des personnes de tous horizons et de toutes positions politiques sont disposées à contribuer aux services et à la protection de la société dans son ensemble - mais à condition que l'argent soit dépensé efficacement et que chacun paie sa part.

  • Je pense que la France n'a pas suffisamment fait comprendre récemment à nos amis allemands à quel point il est important d'introduire les obligations en euros comme outil de lutte contre la spéculation. Et comment la discipline budgétaire nécessaire doit s'accompagner de croissance.

  • Les Britanniques ont été particulièrement frileux sur les questions de régulation financière, et attentifs uniquement aux intérêts de la City - d'où leur réticence à voir l'introduction d'une taxe sur les transactions financières et l'harmonisation fiscale en Europe.

  • Nous nous trouvons dans une situation difficile en Europe. Il y a une crise, une croissance faible, du chômage... mon devoir est de faire en sorte qu'à la fin de mon mandat la France soit dans un meilleur état qu'elle ne l'était au début.