Aron Nimzowitsch citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Aron Nimzowitsch
  • Le pion passé est un criminel, qui doit être gardé sous clé. Des mesures douces, telles que la surveillance policière, ne sont pas suffisantes

  • C'est un phénomène bien connu que le même amateur qui peut mener le jeu du milieu de manière tout à fait crédible, est généralement parfaitement impuissant en fin de partie. L'une des principales conditions d'un bon jeu d'échecs est la capacité de traiter à la fois le milieu et la fin du jeu de la même manière.

  • Même le roi le plus paresseux s'enfuit sauvagement face à un double chèque!

  • En milieu de partie, le roi n'est qu'un figurant, mais en fin de partie, il est l'un des acteurs vedettes.

  • Le pion isolé jette de la tristesse sur tout l'échiquier

  • Que nos craintes sont vaines! Je me suis dit à moi-même. Parfois, nous craignons ce que notre adversaire (ou le destin) n'avait même jamais envisagé! Après cela, vaut-il donc plus la peine de se creuser la cervelle pour trouver de nouveaux fantômes à craindre? Non, en effet: vive l'optimisme! - en jouant Hermanis Mattison après avoir négligé une manœuvre de chevalier inhabituelle.

  • Beaucoup d'hommes, beaucoup de styles; qu'est-ce que le style d'échecs sinon l'expression intangible de la volonté de gagner.

  • Pas d'échange de pions, pas d'ouverture de fichiers, pas d'attaque.

  • Une connaissance approfondie des éléments nous emmène plus de la moitié du chemin vers la maîtrise

  • La menace est plus forte que l'exécution.

  • Ne pensez pas toujours à l'attaque! Les mouvements qui protègent votre position sont souvent beaucoup plus prudents.

  • La stratégie échiquéenne en tant que telle en est encore à ses balbutiements, malgré la déclaration de Tarrasch "Nous vivons aujourd'hui une belle époque de progrès dans tous les domaines". Pas la moindre tentative n'a été faite pour explorer et formuler les lois de la stratégie aux échecs.

  • Le monde des échecs est obligé d'organiser un match entre le champion du monde et le vainqueur de ce tournoi de Carlsbad - en effet, c'est une obligation morale. Si le monde des échecs devait rester sourd à son obligation, en revanche, cela équivaudrait à une omission absolument impardonnable, entraînant avec elle un lourd fardeau de culpabilité.

  • Le ridicule peut faire beaucoup, par exemple aigrir l'existence de jeunes talents.

  • Quand je me demande aujourd'hui d'où je tire le courage moral, car il faut du courage moral pour faire un geste (ou élaborer un plan) allant à l'encontre de toute tradition, je pense que je peux répondre que ce n'est que mon intense préoccupation pour le problème du blocus qui m'a aidé à le faire.

  • Si dans une bataille, je m'empare d'un bout de terrain discutable avec une poignée de soldats, sans avoir rien fait pour empêcher un bombardement ennemi de la position, me viendrait-il jamais à l'esprit de parler d'une conquête du terrain en question? Visiblement non. Alors pourquoi devrais-je le faire aux échecs?

  • Les points stratégiquement importants doivent être surprotégés. Si les pièces sont si engagées, elles obtiennent leur estime dans le fait qu'elles se retrouveront alors bien affichées à tous égards.

  • D'abord restreindre, blocus suivant, enfin détruire.

  • Comment puis-je perdre contre un tel idiot?

  • La puissance défensive d'une pièce épinglée n'est qu'imaginaire

  • Le ridicule peut faire beaucoup, par exemple aigrir l'existence de jeunes talents; mais une chose ne lui est pas donnée, arrêter définitivement l'incursion d'idées nouvelles et puissantes.

  • Abandonner le centre ne doit pas ici être considéré comme illogique. Le bonheur n'était-il pas un bonheur parce qu'il n'a duré que peu de temps? On ne peut pas toujours être heureux.

  • Comment expliquer que quelque chose en moi se révolte contre le jeu de mouvements évidents? Peut-être pouvons-nous percevoir la raison sous-jacente dans le fait que je tire satisfaction de chercher à révéler le sens caché d'une position au moyen d'un jeu de manœuvre et donc je ne souhaite pas voir cette satisfaction réduite par une décision banale, plus ou moins fortuite. Naturellement, ce phénomène se joue sous le seuil de la conscience. La conscience éveillée donnera bien sûr, dans chaque cas individuel, la préférence aux moyens les plus rapides de décider du jeu.

  • La grande mobilité du Roi constitue l'une des principales caractéristiques de toute stratégie de fin de partie. En milieu de partie, le Roi est un simple "super", en fin de partie d'autre part, des "principaux". Il faut donc le développer, le rapprocher de la ligne de combat.

  • L'objectif principal de toute opération dans un dossier ouvert est l'Occupation éventuelle du septième ou huitième rang.

  • La nuit de QB3 est sous obligation, au moment où l'ennemi lui en donne l'occasion, d'entreprendre une invasion du centre par Kn-Q5.

  • La beauté d'un déménagement ne réside pas dans son apparence, mais dans la pensée qui le sous-tend.