Rick Yancey citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Rick Yancey
  • Mais l'espoir n'est pas moins réaliste que le désespoir. C'est toujours notre choix de vivre dans la lumière ou de nous allonger dans l'obscurité.

  • Vous savez comment parfois vous vous dites que vous avez le choix, mais vraiment vous n'avez pas le choix? Ce n'est pas parce qu'il existe des alternatives qu'elles s'appliquent à vous.

  • Si souvent, les monstres qui envahissent nos esprits ne sont rien de plus que la progéniture étrange et complètement étrangère de nos propres fantasmes effrayants.

  • Comment débarrassez-vous la Terre des humains? Débarrassez les humains de leur humanité.

  • Si je l'avais affronté à l'époque, je ne l'affronterais pas maintenant, mais tôt ou tard, vous devez choisir entre courir et affronter la chose à laquelle vous pensiez ne pas pouvoir faire face.

  • Il est difficile de planifier ce qui va suivre lorsque ce qui va suivre n'est pas quelque chose que vous aviez prévu.

  • Oui, ma chère enfant, les monstres sont réels. Il se trouve que j'en ai un suspendu dans mon sous-sol.

  • Elle le détestait et l'aimait, aspirait à lui et le détestait, et se maudissait de ressentir quoi que ce soit

  • Mlle Marks, voyez-vous, la fait vivre...divertir les jeunes, et moins jeunes, marins...ou tout autre membre des forces armées forcées, ou des civils, qui en jouissent...être diverti par des dames qui...divertir.

  • C'est une question stupide, dit Malachie. Parce qu'il ne l'a pas prévenu. Il n'a prévenu personne.- Non, c'est une question philosophique, le corrigea Kearns. Ce qui le rend inutile, pas stupide.

  • Je ne veux pas me moquer ou ridiculiser le travail de votre vie, car d'une certaine manière au moins il imite le mien: nous avons consacré nos vies à la poursuite des fantômes. La différence est la nature de ces fantômes. Les miens existent entre les oreilles des autres hommes; les vôtres vivent uniquement entre les vôtres.

  • Es - tu tombé amoureux, Will Henry?""C'est stupide.""C'est quoi? L'amour, ou ma question?""Je ne sais pas.""Tu ne sais pas? Tu as essayé ce truc une fois. Que pensez-vous que cela fonctionnera mieux la deuxième fois?""Je ne l'aime pas. Elle me dérange.""Vous venez de définir la chose même que vous avez niée.

  • Il y a ceux qui travaillent dans les ténèbres, pour que le reste d'entre nous puisse vivre dans la lumière.

  • Faut - il s'étonner du pouvoir que cet homme détenait sur moi-cet homme qui ne fuyait pas ses démons comme la plupart d'entre nous, mais les embrassait comme les siens, les serrant contre son cœur dans une prise étouffante. Il n'a pas essayé de leur échapper en les niant, en les droguant ou en négociant avec eux. Il les a rencontrés là où ils vivaient, dans l'endroit secret que la plupart d'entre nous gardent caché. Warthrop était Warthrop jusqu'à la moelle de ses os, car ses démons le définissaient; ils lui insufflaient le souffle de vie; et sans eux, il descendrait, comme la plupart d'entre nous, dans le brouillard purgatoire d'une vie non réalisée.

  • L'apitoiement sur soi est de l'égoïsme non dilué, après tout —l'égocentrisme dans sa forme la plus pure.

  • Ce n'est pas parce qu'un homme est un maniaque meurtrier qu'il a tort.

  • Il arrive un moment dans la guerre où la dernière ligne doit être franchie. La ligne qui sépare ce qui vous est cher de ce qu'exige la guerre totale. S'il ne pouvait pas franchir cette ligne, la bataille était terminée et il était perdu. Son cœur, la guerre. Son visage, le champ de bataille. Avec un cri que lui seul pouvait entendre, le chasseur se retourna. Et courut.

  • Il y avait, comme, ce trou noir où se trouvait le monde, et nous tombions tous les deux vers lui. À quoi pourrions-nous nous accrocher?

  • Prières et promesses. Celui que sa sœur lui a fait. Le non-dit que j'ai fait à ma sœur. Les prières sont aussi des promesses, et ce sont les jours des promesses non tenues.

  • C'est peut-être notre destin, notre malédiction humaine, de ne jamais vraiment se connaître.

  • Nous sommes l'argile, et vous êtes Michel-Ange. Et nous serons votre chef-d'œuvre.

  • Quand je me réveille le lendemain matin, il y a un baiser de Hershey assis sur la table à côté de moi.

  • Pourrait-il y avoir une ironie plus cruelle que celle-ci? Comment, à son secours, la vérité l'avait amené ici, dans une maison pour fous, car seul un fou croit ce que chaque enfant sait être vrai: Il y a des monstres qui guettent sous nos lits.

  • Je vous assure, gendarme Morgan, que je suis tout à fait sain d'esprit, si je comprends bien le mot, peut-être la personne la plus saine d'esprit dans cette pièce, car je ne souffre d'aucune illusion. Je me suis libéré, voyez - vous, de la prétention qui pèse sur la plupart des hommes. Tout comme nos proies, je n'impose pas d'ordre là où il n'y en a pas; je ne prétends pas qu'il y a plus que ce qu'il y a, ou que vous et moi sommes quelque chose de plus que ce que nous sommes. C'est l'essence de leur beauté, Morgan, la pureté autochtone de leur être, et pourquoi je les admire.

  • S'il te plaît, ne me quitte pas, Will Henry. Je n'y survivrais pas. Tu avais presque raison. Ce qu'était M. Kendall, je suis toujours sur le point de le devenir. Et vous - je ne prétends pas savoir comment ni même pourquoi-mais vous me tirez du précipice. Tu es le seul... Tu es la seule chose qui me garde Humain.

  • Notre ennemi est la peur. Une peur aveuglante, qui tue la raison. La peur consume la vérité et empoisonne toutes les preuves, nous conduisant à de fausses hypothèses et à des conclusions irrationnelles.

  • La science-fiction est le genre qui a exploré les deux possibilités: la fin de notre crise existentielle et la fin de notre existence. Mon roman, La 5ème Vague, explore ce dernier scénario, car, franchement, je crois qu'il représente le résultat le plus probable d'une rencontre extraterrestre. Bref, s'ils sont là-bas, nous ferions mieux d'espérer qu'ils ne nous trouvent jamais.