Franklin Pierce citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Franklin Pierce
  • Je parle de la guerre comme stérile; car il est clair que, poursuivie sur la base des proclamations des 22 et 24 septembre 1862, poursuivie, comme je dois comprendre ces proclamations, sans parler du sang apparenté qui a suivi, sur la théorie de l'émancipation, de la dévastation, de l'assujettissement, elle ne peut manquer d'être stérile en tout sauf la moisson de malheur qu'elle mûrit pour ce qui était autrefois la république incomparable.

  • Il faut sentir qu'il n'y a de sécurité nationale que dans l'humble dépendance reconnue de la nation envers Dieu et Sa providence dominante.

  • Mais que le fondement de notre espérance ne repose pas sur la sagesse de l'homme. Il ne suffira pas que les préjugés sectoriels ne trouvent pas leur place dans les délibérations publiques. Il ne suffira pas que les conseils téméraires de la passion humaine soient rejetés. Il faut sentir qu'il n'y a de sécurité nationale que dans l'humble dépendance reconnue de la nation envers Dieu et Sa providence dominante.

  • Je n'ai jamais justifié, soutenu, ou de quelque manière ou dans une certaine mesure soutenu cette guerre inutile, cruelle, sans cœur et sans but.

  • La constitutionnalité et l'opportunité du gouvernement fédéral de s'engager dans un domaine législatif nouveau et vaste, à savoir celui de pourvoir aux soins et au soutien de tous ceux ... qui, par toute forme de calamité, deviennent des objets appropriés de philanthropie publique. ... Je ne trouve aucune autorité dans la Constitution pour faire du gouvernement fédéral le grand aumônier de la charité publique à travers les États-Unis. Agir ainsi serait, à mon avis, contraire à la lettre et à l'esprit de la Constitution et subversif de toute la théorie sur laquelle l'Union de ces États est fondée.

  • Les fondateurs de la République ont traité les choses telles qu'elles leur étaient présentées, dans un esprit de patriotisme désintéressé et comme le temps l'a prouvé, avec une sagesse globale qu'il nous sera toujours prudent de consulter

  • Je ne trouve aucune autorité dans la Constitution pour la charité publique.

  • Bien que l'on ne puisse pas s'attendre à ce que les hommes habitant différentes parties de ce vaste continent aient les mêmes opinions, ils peuvent se délier dans un objectif commun et soutenir des principes communs.

  • Il n'y a plus qu'à se saouler.

  • Les revenus du pays, prélevés presque insensiblement sur le contribuable, se poursuivent d'année en année, augmentant au-delà des intérêts ou des désirs éventuels du gouvernement.

  • Tu m'as invoqué dans ma faiblesse. Tu dois me soutenir dans ta force.

  • Je ne peux exprimer de meilleur espoir pour mon pays que celui que l'aimable Providence qui a souri à nos pères puisse permettre à leurs enfants de préserver les bénédictions dont ils ont hérité.

  • Avec l'Union, mes meilleurs et mes plus chers espoirs terrestres sont liés.

  • Une République sans partis est une anomalie complète. L'histoire de tous les gouvernements populaires montre qu'il est absurde de penser qu'ils tentent d'exister sans partis.

  • Les dangers d'une concentration de tous les pouvoirs dans le gouvernement général d'une confédération aussi vaste que la nôtre sont trop évidents pour être ignorés.

  • Souvent, plus le sujet est insignifiant, plus la discussion est animée et prolongée.