Marsilio Ficino citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Marsilio Ficino
  • En ces temps, je ne sais pas, d'une certaine manière, ce que je veux; peut-être que je ne veux pas ce que je sais et que je veux ce que je ne sais pas.

  • Des livres qui distribuent des choses... avec une liberté aussi audacieuse que celle que nous utilisons dans les rêves, remettez-nous debout.

  • [L'imagination] . . . inspire une habitude mentale audacieuse. Nous sommes aussi élastiques que le gaz de la poudre à canon, et . . . un mot lâché dans la conversation libère notre imagination, et instantanément nos têtes sont baignées de galaxies, et nos pieds foulent le sol de la Fosse.

  • Les artistes dans chacun des arts ne recherchent et ne se soucient que d'amour.

  • L'âme existe en partie dans l'éternité et en partie dans le temps.

  • Un garçon robuste . . . qui l'équipe, le cultive . . . et toujours comme un chat tombe sur ses pattes, vaut une centaine de ces poupées de ville.

  • . . . si [l'écriture] vous soulève de vos pieds avec la grande voix de l'éloquence, alors l'effet doit être large, lent, permanent, sur l'esprit des hommes;. . .

  • C'est la loi . . . qui entend sans oreilles, voit sans yeux, bouge sans pieds et saisit sans mains.

  • Les médecins de l'Antiquité ont affirmé que l'amour est une passion qui ressemble à une maladie mélancolique. Le médecin Rasis a donc prescrit, pour récupérer, le coït, le jeûne, l'ivresse et la marche.

  • . . . le pauvre, que la loi ne permet pas de prendre . . . une paire de chaussures pour ses pieds gelés, est autorisé à mettre sa main dans la poche des riches, et à dire, Tu m'éduqueras. . . .

  • Le sort du pauvre berger, qui, aveuglé et perdu dans la tempête de neige, périt dans une dérive à quelques mètres de la porte de son chalet, est un emblème de l'état de l'homme.

  • La poésie étant une tentative d'exprimer, non pas le bon sens, - comme l'avoirdupois du héros, ou sa structure en pieds et en pouces, - mais la beauté et l'âme dans son aspect . . . se heurte à la fable, personnifie chaque fait. . . .

  • Il ne goûte rien qui n'a pas goûté pour lui-même

  • Les mortels demandent à Dieu de bonnes choses tous les jours, mais ils ne prient jamais pour en faire bon usage.

  • Tout le monde croit qu'il abonde en sagesse, mais manque d'argent.

  • Ce qui est odieux mais . . . les gens . . . qui trinquent leurs pieds sur le registre. . . .

  • [La nature a dit] Que la mer séparera le peuple [d'Angleterre] des autres et le tricotera à une nationalité féroce. Cela leur donnera des marchés de tous les côtés. Longtemps je les tiendrai debout, par la pauvreté, les guerres frontalières . . . naviguant . . .

  • Il y a un moment dans l'histoire de chaque nation, quand . . . les pouvoirs perceptifs atteignent leur maturité et ne sont pas encore devenus microscopiques: alors cet homme, à cet instant . . . les pieds encore plantés sur les immenses forces de la nuit, converse par ses yeux et son cerveau avec la création solaire et stellaire.

  • L'abstractionniste et le matérialiste s'exaspérant ainsi mutuellement, et le moqueur exprimant le pire du matérialisme, il se pose un tiers pour occuper le juste milieu entre ces deux, le sceptique, à savoir. Il trouve les deux faux en étant dans les extrêmes. Il s'efforce de planter ses pieds, d'être la poutre de la balance.

  • Pourquoi pensons-nous que l'amour est un magicien? Parce que tout le pouvoir de la magie consiste en l'amour. Le travail de la magie est l'attraction d'une chose par une autre en raison d'une certaine affinité de la nature.

  • Qui peut s'interroger sur l'attractivité... du barreau, pour nos jeunes ambitieux, quand les plus hauts pots-de-vin de la société sont aux pieds de l'orateur qui réussit?

  • Vous courez chercher votre ami. Laissez courir vos pieds, mais votre esprit n'en a pas besoin.

  • Ne vous inquiétez jamais de rien. Vivez dans le présent. Vis maintenant. Sois heureux.

  • Les couronnes de laurier s'attachent aux déserts Et le pouvoir à celui qui exerce le pouvoir; N'as-tu pas ta part? Sur des pieds ailés, Voilà! il te presse de te rencontrer;. . .