Joseph Sheridan Le Fanu citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Joseph Sheridan Le Fanu
  • Pendant quelques nuits, je dormais profondément; mais encore chaque matin je ressentais la même lassitude, et une langueur pesait sur moi toute la journée. Je me sentais une fille changée. Une étrange mélancolie m'envahissait, une mélancolie que je n'aurais pas interrompue. De sombres pensées de mort ont commencé à s'ouvrir, et l'idée que je sombrais lentement a pris doucement et, d'une manière ou d'une autre, une possession non indésirable de moi. Si c'était triste, le ton d'esprit que cela induisait était aussi doux. Quoi qu'il en soit, mon âme y a acquiescé.

  • Il n'y a pas de grande tristesse à gérer comme si elle était sous le contrôle de nos volontés. C'est un phénomène terrible, dont nous devons étudier les lois et à quelles conditions nous devons nous soumettre, si nous voulons l'atténuer.

  • Mais les rêves traversent les murs de pierre, éclairent les pièces sombres ou assombrissent les pièces claires, et leurs personnes font leurs sorties et leurs entrées à leur guise, et se moquent des serruriers.

  • Vous me penserez cruel, très égoïste, mais l'amour est toujours égoïste; plus il est ardent, plus il est égoïste. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis jaloux. Tu dois venir avec moi, m'aimer, jusqu'à la mort; ou bien me haïr, et toujours venir avec moi, et me haïr à travers la mort et après. Il n'y a pas de mot comme indifférence dans ma nature apathique.

  • Néanmoins, la vie et la mort sont des états mystérieux, et nous en connaissons peu les ressources.

  • Très chère, ton petit cœur est blessé; ne me crois pas cruelle car j'obéis à la loi irrésistible de ma force et de ma faiblesse; si ton cher cœur est blessé, mon cœur sauvage saigne avec le tien. Dans le ravissement de mon énorme humiliation, je vis dans votre vie chaleureuse, et vous mourrez die mourrez, mourrez doucement into dans la mienne. Je ne peux pas m'en empêcher; alors que je m'approche de vous, vous, à votre tour, vous vous approcherez des autres et apprendrez l'enlèvement de cette cruauté, qui est pourtant l'amour; alors, pendant un moment, ne cherchez plus à me connaître ni à moi, mais faites-moi confiance avec tout votre esprit aimant.

  • Quel idiot j'étais! et pourtant, aux yeux des anges, sommes-nous plus sages en vieillissant? Il me semble seulement que nos illusions changent au fur et à mesure que nous avançons; mais, pourtant, nous sommes tout de même des fous.

  • Tu as peur de mourir?"Oui, tout le monde l'est."Mais mourir en amoureux peut-mourir ensemble, pour qu'ils puissent vivre ensemble. Les filles sont des chenilles quand elles vivent dans le monde, pour être enfin des papillons quand l'été arrive; mais en attendant, il y a des larves et des larves, ne voyez - vous pas-chacune avec ses propensions, ses nécessités et ses structures particulières.

  • Comme nos angoisses reposent merveilleusement, en couches filmées, l'une sur l'autre! Enlevez ce qui est resté si longtemps sur la surface supérieure - le soin des soucis - le seul, comme il vous a semblé, entre votre âme et le rayonnement du Ciel - et tout droit vous y trouvez une nouvelle strate.

  • Peut-être, dit-elle (Madame de la Rougierre), d'autres âmes qu'humaines naissent parfois au monde et revêtues de chair humaine.

  • Personne n'aime une route droite mais l'homme qui la paie, ou qui, lorsqu'il voyage, est assez brutal pour souhaiter arriver au bout de son voyage.

  • Les personnes âgées sont parfois aussi réticentes à mourir que les enfants fatigués à dire bonne nuit et à se coucher.

  • La connaissance est le pouvoir-et le pouvoir d'une sorte ou d'une autre est la convoitise secrète des âmes humaines; et voici, à côté du sens de l'exploration, l'intérêt indéfinissable d'une histoire, et surtout, quelque chose d'interdit, pour stimuler l'appétit contumace.

  • Les femmes sont si énigmatiques â € "certaines en tout â €" toutes en matière de cœur. N'admirent-ils pas parfois ce qui est répugnant?...

  • mais la curiosité est une passion agitée et scrupuleuse, et aucune fille ne peut supporter, avec patience, que la sienne soit déconcertée par une autre.

  • Mais mourir en amoureux peut-être-mourir ensemble, pour qu'ils puissent vivre ensemble.

  • Je ne peux pas m'en empêcher; alors que je m'approche de toi, toi, à ton tour, tu t'approcheras des autres, et apprendras l'enlèvement de cette cruauté, qui est pourtant l'amour; alors, pendant un moment, cherche à ne plus me connaître ni à moi, mais fais-moi confiance avec tout ton esprit aimant.

  • Je me souviens de tout à ce sujet â € " avec un effort. Je vois tout cela, comme les plongeurs voient ce qui se passe au-dessus d'eux, à travers un milieu, dense, ondulant, mais transparent.

  • Il n'y a pas de sentiment de solitude tel que celui que nous éprouvons sur les hauteurs silencieuses et vastes des grandes montagnes. Élevés au-dessus du niveau des sons et des habitations humaines, parmi les étendues sauvages et les caractéristiques colossales de la Nature, nous sommes ravis de notre solitude avec une peur et une exaltation étranges-une ascension au-dessus de la portée des attentes ou de la compagnie de la vie, et les tremblements d'une appréhension sauvage et indéfinie.

  • Il arrive avec la vieillesse un moment où le cœur n'est plus fusible ou malléable et doit conserver la forme sous laquelle il s'est refroidi.