Horatio Nelson citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

other language: spanish | czech | german | french | italian | slovak | turkish | ukrainian | dutch | russian | portuguese

Horatio Nelson
  • Rappelez-vous qu'il faut être marin pour être officier et aussi qu'on ne peut pas être un bon officier sans être un gentleman.

  • Messieurs, lorsque l'ennemi commet une erreur, il ne faut pas l'interrompre trop tôt.

  • L'Angleterre s'attend à ce que chaque homme fasse son devoir.

  • Le temps est tout; cinq minutes font la différence entre la victoire et la défaite.

  • Les affaires désespérées exigent des mesures désespérées.

  • Je ne pourrais pas emprunter ces chemins périlleux en toute sécurité, si je ne gardais pas un sens de l'humour salvateur.

  • Le devoir est la grande affaire d'un officier de marine; toutes les considérations privées doivent y céder, aussi douloureuses soient-elles.

  • Je ne peux pas commander les vents et la météo.

  • Je ne peux pas, si je suis dans le champ de gloire, être tenu à l'abri des regards: partout où il y a quelque chose à faire, là la Providence est sûre de diriger mes pas.

  • Ne rien faire était honteux; c'est pourquoi j'ai fait usage de ma compréhension.

  • Dieu merci, j'ai fait mon devoir.

  • Vous devez considérer chaque homme comme votre ennemi qui dit du mal de votre Roi, et vous devez traiter chaque Français comme s'il était le Diable lui-même.

  • Ne brisez jamais la neutralité d'un port ou d'un lieu, mais ne considérez jamais comme neutre tout lieu d'où une attaque est autorisée.

  • Buonaparte s'est souvent vanté que notre flotte serait épuisée en gardant la mer et que la sienne était maintenue en ordre et augmentait en restant au port; mais sachez qu'il trouve, j'imagine, si les empereurs entendent la vérité, que sa flotte souffre plus en une nuit que la nôtre en un an.

  • Si nous avions pris dix voiles, et laissé la onzième s'échapper, pouvant l'atteindre, je n'aurais jamais pu dire que c'était bien fait.

  • L'Angleterre attend de chaque homme qu'il fasse son devoir

  • Je suis d'avis que les mesures les plus audacieuses sont les plus sûres.

  • Si un homme consulte s'il doit se battre, quand il a le pouvoir entre ses propres mains, il est certain que son opinion est contre le combat.

  • L'homme le plus courageux ressent une anxiété "circa praecordia" lorsqu'il entre dans la bataille; mais il redoute encore plus la disgrâce.

  • Si j'avais été censuré chaque fois que j'ai mis mon navire, ou les flottes sous mon commandement, en grand danger, j'aurais depuis longtemps été hors Service et jamais à la Chambre des Pairs.

  • L'affaire du commandant en chef anglais étant d'abord d'amener une flotte ennemie au combat aux conditions les plus avantageuses pour lui-même, (je veux dire celle de placer ses navires à proximité à bord de l'ennemi, aussi rapidement que possible); et deuxièmement de les y poursuivre jusqu'à ce que l'affaire soit décidée.

  • Mon plus grand bonheur est de servir mon gracieux Roi et mon Pays et je n'envie que la gloire; car si c'est un péché de convoiter la gloire, je suis l'âme vivante la plus offensante.

  • Mon amour est fondé sur l'estime, le seul fondement qui peut faire durer la passion.

  • Rapprochez-vous d'un Français, mais dépassez un Russe.

  • Je ne dînerai nulle part sans votre consentement, bien qu'avec mes sentiments actuels, on puisse me confier cinquante vierges nues dans une pièce sombre.

  • Quelque chose doit être laissé au hasard; rien n'est certain dans un combat en mer

  • J'ai le droit d'être aveugle parfois.

  • Mon caractère et mon nom sont sous ma garde. La vie avec la disgrâce est terrible. Une mort glorieuse est à envier.

  • Traitez chaque Français comme s'il était le diable lui-même.

  • Des lauriers poussent dans le golfe de Gascogne, j'espère qu'on en trouvera un lit en Méditerranée.

  • Aucun capitaine ne peut faire très mal s'il place son navire à côté de celui de l'ennemi.

  • Je crois que notre pays pardonnera plus tôt à un officier d'avoir attaqué un ennemi que de l'avoir laissé tranquille.

  • Laissez - moi tranquille: j'ai encore mes jambes et un bras. Dites au chirurgien de se dépêcher et à ses instruments. Je sais que je dois perdre mon bras droit, donc le plus tôt ce sera le mieux.

  • En honneur je les ai gagnés, et en honneur je mourrai avec eux.

  • Je n'ai qu'un œil, j'ai le droit d'être aveugle parfois... Je ne vois vraiment pas le signal!

  • Ce dont le pays a besoin, c'est de l'anéantissement de l'ennemi.

  • Hardy, je crois qu'ils l'ont enfin fait... ma colonne vertébrale est traversée.

  • Les frégates sont les yeux d'une flotte.

  • D'abord remporter la victoire et ensuite en faire le meilleur usage possible.

  • Un navire est un imbécile pour combattre un fort.

  • Maintenant, je ne peux plus rien faire. Nous devons faire confiance au Grand Ordonnateur de tous les événements et à la justice de notre cause. Je remercie Dieu pour cette opportunité de faire mon devoir.

  • Je dois tout mon succès dans la vie d'avoir toujours été un quart d'heure en avance sur mon temps.

  • Dieu merci, j'ai fait mon devoir. Bois, bois. Fan, fan. Frottez, frottez. Embrasse-moi, Hardy.

  • Tout d'abord, vous devez toujours obéir implicitement aux ordres, sans tenter de vous forger une opinion personnelle sur leur bien-fondé. Deuxièmement, vous devez considérer chaque homme comme votre ennemi qui dit du mal de votre roi; et troisièmement, vous devez haïr un Français comme vous haïssez le diable.