Corneliu Zelea Codreanu citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

other language: spanish | czech | german | french | italian | slovak | turkish | ukrainian | dutch | russian | portuguese

Corneliu Zelea Codreanu
  • Le fascisme, c'est d'abord défendre sa nation contre les dangers qui la menacent. Cela signifie la destruction de ces dangers et l'ouverture d'un chemin libre vers la vie et la gloire pour votre nation.

  • Une nation vit éternellement à travers ses concepts, son honneur et sa culture. C'est pour ces raisons que les dirigeants des nations doivent juger et agir non seulement sur la base des intérêts physiques et matériels de la nation, mais sur la base de l'honneur historique de la nation, des intérêts éternels de la nation. Ainsi: pas du pain à tout prix, mais de l'honneur à tout prix.

  • En raison du système coûteux et de la concurrence entre divers groupes, la démocratie a besoin de beaucoup d'argent. En conséquence naturelle, il devient l'esclave de la grande finance internationale juive qui l'asservit par des subventions. De cette façon, le destin d'un peuple est remis entre les mains d'une caste de banquiers.

  • Un leader qui accepte le financement extérieur de son mouvement est comme l'homme qui habitue son corps à vivre de médicaments. Dans la mesure où un organisme reçoit des médicaments, dans la même mesure, il est condamné à être incapable de réagir par lui-même. De plus, lorsqu'il est privé du médicament, il meurt; il est à la merci du pharmacien! De même, un mouvement politique est à la merci de ceux qui le financent. Ceux - ci pourraient cesser leur financement à tout moment et le mouvement, peu habitué à vivre seul, meurt.

  • La vie des légionnaires est belle, non pas à cause de la richesse, de la fête ou de l'acquisition de luxe, mais à cause de la noble camaraderie qui lie tous les Légionnaires dans une fraternité sacrée de lutte.

  • L'individu dans le cadre et au service de sa race, la race dans le cadre et au service de Dieu et des lois de la divinité: ceux qui comprendront ces choses gagneront même s'ils sont seuls. Ceux qui ne comprendront pas seront vaincus.

  • La loi du silence: Parle peu. Dites seulement ce que vous devez. Ne parlez que lorsque cela est nécessaire. Votre oratoire devrait être des actes, pas des mots. Vous accomplissez: laissez les autres parler.

  • Le pays se meurt à cause d'un manque d'hommes, pas d'un manque de programmes.

  • Le jeune homme qui adhère à un parti politique est un traître à sa génération et à sa race.

  • Rien n'effraie plus les "Juifs" qu'une parfaite unité chez les autres: l'unité de sentiment dans un mouvement, dans un peuple. C'est pourquoi ils seront toujours pour la "démocratie" qui n'a qu'un avantage, et celui-là pour l'ennemi de la nation. Car la démocratie brisera l'unité et l'esprit d'un peuple...

  • Nous tuerons en nous-mêmes un monde pour en construire un autre, plus élevé, atteignant les cieux.

  • Dans la lutte contre le communisme dans l'histoire, seul Codreanu n'a pas abandonné. Il était un nouveau genre de Jésus

  • Partout où la main et l'âme du légionnaire apparaissent, un jardin apparaît.

  • La démocratie détruit l'unité de la nation roumaine, la divisant entre les partis politiques, incitant les Roumains à se détester les uns les autres, exposant ainsi un peuple divisé à la congrégation unie du pouvoir juif à un moment difficile de l'histoire de la nation. Cet argument à lui seul est si convaincant qu'il justifie le rejet de la démocratie en faveur de tout ce qui assurerait notre unité or ou la vie elle-même. Car la désunion signifie la mort.

  • La démocratie brise l'unité du peuple roumain, le divisant en partis, l'agitant, et ainsi, désuni, l'exposant à faire face au bloc uni du pouvoir judaïque...

  • La loi de l'honneur: Ne suivez que les chemins de l'honneur. Combattez, et ne soyez jamais un lâche. Laissez le chemin de l'infamie aux autres. Mieux vaut tomber dans un combat honorable que gagner par l'infamie.

  • Là-haut, nous défendrons la vie des arbres et des montagnes contre d'autres dévastations. En bas [dans les villes], nous répandrons la mort et la miséricorde.

  • La première et la plus féroce punition doit tomber d'abord sur le traître, ensuite sur l'ennemi. Si je n'avais qu'une seule balle et que j'étais confronté à la fois à un ennemi et à un traître, je laisserais le traître l'avoir.

  • La terre est la base de l'existence d'une nation. La nation a ses racines comme celles d'un arbre profondément enfouies dans le sol du pays d'où elle tire sa nourriture et sa vie. Il n'y a pas de gens qui peuvent vivre sans terre, comme il n'y a pas d'arbre qui peut vivre suspendu dans l'air.