Antoine Lavoisier citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Antoine Lavoisier
  • Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme

  • Les langues sont de véritables méthodes analytiques.

  • Nous ne devons nous fier qu'aux faits: Ceux-ci nous sont présentés par la nature et ne peuvent tromper. Nous devons, dans tous les cas, soumettre notre raisonnement à l'épreuve de l'expérience, et ne jamais rechercher la vérité que par la voie naturelle de l'expérience et de l'observation.

  • Un riche propriétaire terrien ne peut cultiver et améliorer sa ferme sans répandre le confort et le bien-être autour de lui. Des récoltes riches et abondantes, une population nombreuse et une campagne prospère sont les récompenses de ses efforts.

  • La végétation est l'instrument de base que le créateur utilise pour mettre toute la nature en mouvement.

  • Je considère la nature comme un vaste laboratoire chimique dans lequel se forment toutes sortes de compositions et de décompositions.

  • Rien ne naît, rien ne meurt.

  • Je suis jeune et avide de gloire.

  • Ainsi, alors que je ne me croyais employé qu'à former une Nomenclature, et que je ne me proposais rien de plus que d'améliorer le langage chimique, mon travail se transforma peu à peu, sans que je puisse l'empêcher, en un traité sur les Éléments de la Chimie.

  • Les mathématiciens parviennent à la solution d'un problème par la simple disposition des données, et en réduisant le raisonnement à des opérations si simples, à des jugements si brefs, qu'ils ne perdent jamais de vue les preuves qui leur servent de guide.

  • Peut-être... un jour, la précision des données sera portée si loin que le mathématicien pourra calculer à son bureau le résultat de n'importe quelle combinaison chimique, de la même manière, pour ainsi dire, qu'il calcule les mouvements des corps célestes.

  • J'ai eu une vie assez longue, surtout très heureuse, et je pense qu'on se souviendra de moi avec quelques regrets et laissera peut-être une certaine réputation derrière moi. Que pourrais-je demander de plus? Les événements dans lesquels je suis impliqué me sauveront probablement des ennuis de la vieillesse. Je mourrai en pleine possession de mes facultés, et c'est un autre avantage que je devrais compter parmi ceux dont j'ai joui. Si j'ai des pensées pénibles, c'est de ne pas avoir fait plus pour ma famille; ne pouvoir leur donner ni à eux ni à vous aucun gage de mon affection et de ma gratitude, c'est être vraiment pauvre.

  • Il est impossible de dissocier la langue de science...To appelez un concept, un mot est nécessaire.

  • Les légumes sont des corps organisés qui poussent sur les zones sèches du globe et dans ses eaux. Leur fonction est de combiner immédiatement les quatre éléments et de servir de nourriture aux animaux.

  • Comme les idées sont conservées et communiquées au moyen de mots, il s'ensuit nécessairement que nous ne pouvons améliorer le langage d'aucune science, sans en même temps améliorer la science elle-même; nous ne pouvons pas non plus, d'autre part, améliorer une science sans améliorer le langage ou la nomenclature qui lui appartient.

  • L'impossibilité de séparer la nomenclature d'une science de la science elle-même, est due à ceci, que chaque branche de la science physique doit se composer de trois choses; la série de faits qui sont les objets de la science, les idées qui représentent ces faits, et les mots par lesquels ces idées sont exprimées. Comme trois impressions du même sceau, le mot doit produire l'idée, et l'idée doit être une image du fait.

  • L'imagination, au contraire, qui erre toujours au-delà des limites de la vérité, jointe à l'amour de soi et à cette confiance en soi à laquelle nous sommes si enclins à nous livrer, nous pousse à tirer des conclusions qui ne découlent pas immédiatement des faits.

  • Cette théorie [la théorie de l'oxygène] n'est pas telle que je l'ai entendue décrite, celle des chimistes français, c'est la mienne (elle est la mienne); c'est une propriété que je revendique de mes contemporains et de la postérité.

  • On réussit à obtenir une production équivalente à un prix inférieur en améliorant les arts, les métiers et l'agriculture et en développant les qualités physiques et morales des ouvriers, agriculteurs et artisans.

  • Nous pouvons poser comme un axiome incontestable que, dans toutes les opérations de l'art et de la nature, rien n'est créé; une quantité égale de matière existe à la fois avant et après l'expérience; la qualité et la quantité des éléments restent précisément les mêmes; et rien n'a lieu au-delà des changements et des modifications dans la combinaison de ces éléments. De ce principe dépend tout l'art d'effectuer des expériences chimiques: il faut toujours supposer une égalité exacte entre les éléments du corps examiné et ceux des produits de son analyse.

  • Si tout en chimie s'explique d'une manière satisfaisante sans l'aide du phlogistique, c'est par cette seule raison infiniment probable que le principe n'existe pas; que c'est un corps hypothétique, une supposition gratuite; en effet, il est dans les principes de la bonne logique, de ne pas multiplier les corps sans nécessité.

  • Nous ne pensons qu'à travers les mots. Les langues sont de véritables méthodes analytiques. L'algèbre, qui est adaptée à son but dans chaque espèce d'expression, de la manière la plus simple, la plus exacte et la meilleure possible, est à la fois un langage et une méthode analytique. L'art du raisonnement n'est rien de plus qu'un langage bien arrangé.

  • Dans chaque combustion, il y a dégagement de la matière du feu ou de la lumière. Un corps ne peut brûler que dans de l'air pur [oxygène]. Il n'y a ni destruction ni décomposition de l'air pur et l'augmentation du poids du corps brûlé est exactement égale au poids de l'air détruit ou décomposé. Le corps brûlé se transforme en acide par addition de la substance qui augmente son poids. L'air pur est un composé de la matière du feu ou de la lumière avec une base. Lors de la combustion, le corps brûlant enlève la base, qu'il attire plus fortement que la matière de chaleur, qui apparaît sous forme de flamme, de chaleur et de lumière.

  • Il est presque possible de prévoir un ou deux jours à l'avance, dans une fourchette de probabilité assez large, quel temps il fera; on pense même qu'il ne sera pas impossible de publier des prévisions quotidiennes, ce qui serait très utile à soci.

  • Diminuer la masse des maux qui affligent l'espèce humaine, augmenter la jouissance et le bien-être. Et même si les nouvelles routes ouvertes ne pouvaient prolonger la vie moyenne de l'humanité que de quelques heures, voire de quelques jours, alors le scientifique pourrait aussi aspirer.

  • Puisqu'il s'agit de la substance même de l'animal, c'est le sang qui transporte le carburant.Si l'animal ne remplaçait pas habituellement, en se nourrissant, ce qu'il perdait par la respiration, la lampe serait très vite à court d'huile et l'animal périrait, tout comme la lampe s'éteint lorsqu'elle manque de combustible.

  • Ce n'est pas seulement par les pores de la peau que cette émaciation aqueuse a lieu. Une quantité considérable d'humidité est également expirée par les poumons à chaque expiration.

  • L'art de tirer des conclusions des expériences et des observations consiste à évaluer les probabilités et à estimer si elles sont suffisamment grandes ou suffisamment nombreuses pour constituer des preuves. Ce type de calcul est plus compliqué et plus difficile qu'on ne le pense généralement. . . .