Gottfried Leibniz citations célèbres
dernière mise à jour : 5 septembre 2024
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Tout état présent d'une substance simple est la conséquence naturelle de son état précédent, de telle sorte que son présent est grand avec son avenir.
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Tout ce qui est possible exige d'exister.
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Il est à noter que la notation facilite la découverte. Ceci, d'une manière des plus merveilleuses, réduit le travail de l'esprit.
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Rien n'est plus important que de voir les sources d'invention qui sont, à mon avis, plus intéressantes que les inventions elles-mêmes.
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Nous vivons dans le meilleur des mondes possibles
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Nihil est sinus ratione. Il n'y a rien sans raison.
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Il y a aussi deux sortes de vérités, celles du raisonnement et celles du fait. Les vérités de raisonnement sont nécessaires et leur contraire est impossible: les vérités de fait sont contingentes et leur contraire est possible. Lorsqu'une vérité est nécessaire, la raison peut être trouvée par analyse, la résolvant en idées et vérités plus simples, jusqu'à ce que nous arrivions à celles qui sont primaires.
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AIMER, c'est trouver du plaisir dans le bonheur des autres.
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La réalité ne peut être trouvée que dans Une seule source, à cause de l'interconnexion de toutes choses les unes avec les autres. Je maintiens aussi que les substances, qu'elles soient matérielles ou immatérielles, ne peuvent être conçues dans leur essence nue sans aucune activité, l'activité étant de l'essence de la substance en général.
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Il y a aussi deux sortes de vérités: la vérité du raisonnement et les vérités de fait.
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L'Esprit Divin a trouvé un exutoire sublime dans cette merveille d'analyse, ce présage du monde idéal, cet amphibien entre l'être et le non-être, que nous appelons la racine imaginaire de l'unité négative.
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Aimer, c'est se réjouir du bonheur de quelqu'un, ou éprouver du plaisir sur le bonheur d'un autre. Je définis cela comme le véritable amour.
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Je ne conçois aucune réalité du tout comme sans unité authentique.
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L'âme est le miroir d'un univers indestructible. La Monadologie.
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Mais c'est la connaissance des vérités nécessaires et éternelles qui nous distingue des simples animaux, et nous donne la raison et les sciences, nous élevant à la connaissance de nous-mêmes et de Dieu. C'est cela en nous que nous appelons l'âme rationnelle ou l'esprit.
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La musique est le plaisir que l'esprit humain éprouve à compter sans se rendre compte qu'il compte.
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Or cette connexion ou adaptation de toutes les choses créées avec chacune, et de chacune avec tout le reste, signifie que chaque substance simple a des relations qui expriment toutes les autres, et que par conséquent elle est un perpétuel miroir vivant de l'univers.
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Aimer, c'est se réjouir du bonheur d'autrui, ou, ce qui revient au même, c'est considérer le bonheur d'autrui comme le sien.
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...une distinction doit être faite entre les idées vraies et fausses, et qu'il ne faut pas donner trop de liberté à l'imagination d'un homme sous prétexte qu'il s'agit d'une intellection claire et distincte.
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Or là où il n'y a pas de parties, il n'y a ni extension, ni forme, ni divisibilité possibles. Et ces monades sont les véritables atomes de la nature et, en un mot, les éléments des choses.
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Le présent est grand avec l'avenir.
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C'est une bonne chose de procéder dans l'ordre et d'établir des propositions. C'est le moyen de gagner du terrain et de progresser avec certitude.
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Chaque portion de matière peut être conçue comme un jardin plein de plantes et comme un étang plein de poissons. Mais chaque branche de la plante, chaque membre de l'animal, chaque goutte de ses humeurs, est aussi tel jardin ou tel étang.
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Ces principes m'ont donné une maniÃre d'expliquer naturellement l'union ou plutÃt l'accord mutuel [conformité] de l'à ¢ me et du corps organique. L'âme suit ses propres lois, et le corps suit également ses propres lois; et elles s'accordent entre elles en vertu de l'harmonie préétablie entre toutes les substances, puisqu'elles sont toutes les représentations d'un seul et même univers.
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Selon leur doctrine [Newton et ses disciples], Dieu Tout-Puissant veut remonter sa montre de temps en temps: sinon elle cesserait de bouger. Il n'avait, semble - t-il, pas assez de prévoyance pour en faire un mouvement perpétuel. Non, la machine que Dieu a faite, si imparfaite, selon ces messieurs, qu'il est obligé de la nettoyer de temps en temps par un concours extraordinaire, et même de la réparer, comme l'horloger répare son travail.
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C'est Dieu qui est la raison ultime des choses, et la Connaissance de Dieu n'est pas moins le commencement de la science que son essence et sa volonté sont le commencement des choses.
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Nous voudrions que la Nature n'aille pas plus loin; nous voudrions qu'elle soit finie, comme notre esprit; mais c'est ignorer la grandeur et la majesté de l'Auteur des choses.
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Aimer, c'est placer le bonheur dans le cœur de l'autre....
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Rien ne s'accomplit d'un seul coup, et c'est une de mes grandes maximes, et l'une des plus complètement vérifiées, que la Nature ne fait pas de sauts: une maxime que j'ai appelée la loi de continuité.
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En prenant les mathématiques depuis le début du monde jusqu'à l'époque où Newton vivait, ce qu'il avait fait était bien la meilleure moitié.
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D'où il suit que Dieu est absolument parfait, puisque la perfection n'est rien d'autre que la grandeur de la réalité positive, au sens strict, mettant de côté les limites ou les limites dans les choses qui sont limitées.
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Il est plus facile d'être original et stupide que d'être original et sage.
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Un grand médecin tue plus de gens qu'un grand général.
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Les hommes agissent comme des brutes dans la mesure où les séquences de leurs perceptions ne naissent que du principe de la mémoire, comme ces médecins empiriques qui n'ont qu'une pratique sans théorie.
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J'ai vu quelque chose du projet de M. de Saint-Pierre, pour maintenir une paix perpétuelle en Europe. Je me souviens d'un appareil dans un cimetière, avec les mots: Pax perpetua ; car les morts ne se battent plus: mais les vivants sont d'un autre humour; et les plus puissants ne respectent pas du tout les tribunaux.
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Dans les symboles, on observe un avantage dans la découverte qui est le plus grand lorsqu'ils expriment brièvement la nature exacte d'une chose et, pour ainsi dire, la représentent; alors en effet le travail de la pensée est merveilleusement diminué.
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Je ne crois pas qu'un monde sans mal, préférable au nôtre, soit possible; sinon il aurait été préféré. Il faut croire que le mélange du mal a produit le plus grand bien possible: sinon le mal n'aurait pas été permis. La combinaison de toutes les tendances au bien a produit le meilleur; mais comme il y a des biens qui sont incompatibles ensemble, cette combinaison et ce résultat peuvent introduire la destruction d'un certain bien, et par conséquent d'un certain mal.
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Chaque esprit a un horizon par rapport à sa capacité intellectuelle actuelle mais pas par rapport à sa capacité intellectuelle future.
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Si nous étions magiquement rétrécis et placés dans le cerveau de quelqu'un pendant qu'elle réfléchissait, nous verrions toutes les pompes, pistons, engrenages et leviers s'éloigner et nous serions en mesure de décrire complètement le fonctionnement, en termes mécaniques, décrivant ainsi complètement les processus de pensée du cerveau. Mais cette description ne contiendrait aucune mention de pensée! Il ne contiendrait que des descriptions de pompes, pistons, leviers!
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L'art de découvrir les causes des phénomènes, ou hypothèse vraie, est comme l'art de déchiffrer, dans lequel une conjecture ingénieuse raccourcit considérablement la route.
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La connaissance que nous avons acquise ne doit pas ressembler à une grande boutique sans ordre et sans inventaire; nous devons savoir ce que nous possédons et pouvoir le faire servir dans le besoin.
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Celui qui comprend Archimède et Apollonius admirera moins les réalisations des hommes les plus éminents des temps ultérieurs.
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Nos raisonnements sont fondés sur deux grands principes, celui de la contradiction, en vertu duquel nous jugeons faux ce qui implique une contradiction, et vrai ce qui est opposé ou contradictoire au faux.
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On ne peut expliquer les mots sans faire des incursions dans les sciences elles-mêmes, comme cela ressort des dictionnaires; et, inversement, on ne peut présenter une science sans en définir en même temps les termes.
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Le présent est saturé du passé et enceinte de l'avenir.
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Nous n'avons jamais de démonstration complète, bien qu'il y ait toujours une raison sous-jacente à la vérité, même si elle n'est parfaitement comprise que par Dieu, qui seul a pénétré la série infinie d'un seul coup d'esprit.
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A quoi vous servirait-il, monsieur, de devenir roi de Chine à condition d'oublier ce que vous avez été? Ne serait-ce pas la même chose que si Dieu, en même temps qu'il vous détruisait, créait un roi en Chine?
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Je considère aussi comme acquis que chaque chose créée, et par conséquent la monade créée aussi, est sujette au changement, et en effet que ce changement est continuel en chacun.
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Bien que l'on dise que toute cette vie n'est qu'un rêve et que le monde physique n'est qu'un fantasme, j'appellerais ce rêve ou ce fantasme assez réel, si, en utilisant bien la raison, nous n'en étions jamais trompés.
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Car puisqu'il est impossible pour une monade créée d'avoir une influence physique sur la nature intérieure d'une autre, c'est la seule façon dont on peut être dépendant d'une autre.