Barbara Hepworth citations célèbres

dernière mise à jour : 5 septembre 2024

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Barbara Hepworth
  • Je dessine rarement ce que je vois. Je dessine ce que je ressens dans mon corps.

  • À aucun moment je ne souhaite être en conflit avec un homme ou une pensée masculine. Ça n'entre pas dans ma conscience. L'art est anonyme. Ce n'est pas compétitif avec les hommes. C'est une contribution complémentaire.

  • Le naturel de la vie... le sens de la communauté est, je pense, un facteur très important dans la vie d'un artiste.

  • Avant de commencer à sculpter l'idée doit être presque terminée. Je dis "presque" parce que la chose vraiment importante semble être la capacité du sculpteur à laisser son intuition le guider à travers l'écart entre la conception et la réalisation sans compromettre l'intégrité de l'idée originale; le fait est que le matériau a de la vitalité - il résiste et fait des demandes...

  • J'ai tiré une très grande inspiration du paysage terrestre et marin des Cornouailles, de la ligne horizontale de la mer et de la qualité de la lumière et de la couleur qui me rappellent la lumière et la couleur méditerranéennes qui excitent tellement le sens de la forme; et d'abord et enfin il y a la figure humaine qui dans le pays devient une partie libre et mouvante d'un plus grand tout. Cette relation entre la figure et le paysage est d'une importance vitale pour moi. Je ne peux pas le sentir dans une ville.

  • La sculpture est, au XXe siècle, un vaste champ d'expérience, avec de nombreuses facettes de symbole et de calligraphie matérielle et individuelle. Mais dans toutes ces extensions variées et passionnantes de notre expérience, nous revenons toujours au fait que nous sommes des êtres humains de telle ou telle taille, biologiquement les mêmes que l'homme primitif, et que c'est par le dessin et l'observation, ou l'observation et le dessin, que nous assimilons nos corps à notre paysage.

  • Chaque fois que je suis embrassé par la terre et le paysage marin, je dessine des idées pour de nouvelles sculptures; de nouvelles formes à toucher et à parcourir, de nouvelles personnes à embrasser, avec une exactitude de forme que ceux qui n'ont pas la vue peuvent tenir et réaliser... ... C'est essentiellement pratique et passionné.

  • Tous mes premiers souvenirs sont des formes et des formes et des textures. Se déplaçant à travers et au-dessus du paysage équestre de l'Ouest avec mon père dans sa voiture, les collines étaient des sculptures; les routes définissaient la forme. Par-dessus tout, il y avait la sensation de se déplacer physiquement sur les contours de la plénitude et des concavités, à travers les creux et sur les pics - ressentir, toucher, voir, à travers l'esprit, la main et l'œil. Cette sensation ne m'a jamais quitté. Moi, le sculpteur, je suis le paysage. Je suis la forme et le creux, la poussée et le contour.

  • J'adore mes blocs de marbre, qui s'entassent toujours dans la cour comme un troupeau de moutons.

  • Ma main gauche est ma main pensante. La droite n'est qu'une main motrice. Ça tient le marteau. La main gauche, la main pensante, doit être détendue, sensible. Les rythmes de la pensée passent par les doigts et la prise de cette main dans la pierre.

  • Il est maintenant facile de communiquer avec les gens à travers l'abstraction, et particulièrement en sculpture. Puisque tout le corps réagit à sa présence, les gens deviennent eux - mêmes une partie vivante du tout.

  • Le sculpteur doit rechercher avec une intensité passionnée le principe sous - jacent de l'organisation de la masse et de la tension-le sens du geste et la structure du rythme.

  • Expérience corporelle... est le centre de la création.

  • Mes œuvres sont une imitation de mon propre passé et présent.

  • À mi-chemin de tout travail, on est souvent tenté de partir sur une tangente. Une fois que vous avez cédé, vous serez tenté de céder encore et encore... Enfin, vous ne produiriez que quelque chose d'hybride.

  • J'éprouvais le plaisir le plus intense à percer la pierre pour en faire une forme et un espace abstraits; une sensation assez différente de celle de le faire à des fins de réalisme.

  • J'ai découvert qu'il fallait travailler tous les jours, même à minuit, parce que soit on est professionnel, soit on ne l'est pas.

  • Il faut être entièrement sensible à la structure du matériau que l'on manipule. Il faut y céder dans les moindres détails d'exécution, peut-être la manipulation de la surface ou du grain, et il faut le maîtriser dans son ensemble.

  • Je dois toujours avoir une image claire de la forme d'une œuvre avant de commencer. Sinon, il n'y a pas d'impulsion à créer.

  • Je suis la forme et je suis le creux, la poussée et le contour

  • Les Nations Unies sont notre conscience. S'il réussit, c'est notre succès. S'il échoue, c'est notre échec.